Fiouuu… C’était un été préparé à la va-vite, je l’avoue !
Et qui touche à sa fin… Déjà la vigueur automnale se fait sentir.
Spéciale dédicace à tous les vacanciers juilletistes qui se sont penchés sur la démarche du projet Symbiose et l’ont appréciée malgré le minimalisme de mon stand de cette année. Et dédicace plus particulière encore aux directions ayant accepté cette venue avec les moyens du bord.
Il aurait été difficile pour moi de faire autrement. Soit je bricolais les séjours en un temps record, soit le projet ne tournait pas cet été…
Déménagement en quatrième vitesse de Neuilly sur Seine pour Neuilly sur Marne (ça ne s’invente pas), provisoire pourtant, dans l’attente du VRAI déménagement courant septembre aux Pavillons sous Bois (neuf trois en force, gros. C’est la vie).
Soucis logistiques, de matériel, manque de temps, de place…
Petite confusion suite à un mois de juin assez étourdissant niveau boulot… Ce qui reste positif bien entendu. J’ai même inauguré mon escape game science auprès de 5 classes de cinquième, qui s’est super bien passé.
Bref ! Malgré, donc, un départ plus sur le tard qu’en fanfare, beaucoup de beaux moments. Belles expériences artistiques de peintures sur corps, comme de coutume en milieu naturiste dans cette atmosphère où je n’ai jamais su dire si c’était pour moi du travail ou des vacances.
Première date, tout d’abord un deuxième séjour sur l’île du Levant (le 1er était en 2020), où il fallut marcher en zigzaguant pour ne pas être happé par le variant Delta. Pour rappel, la partie naturiste de l’île a été classée foyer d’infection. La situation semble désormais endiguée.
Mes derniers mois furent si compliqués que j’ai fait l’erreur d’entrer dans l’été sans vaccin, ce qui a rendu chaque étape estivale plus difficile… pour moi comme pour beaucoup d’autres français. Grosse bourde ! Bah oui je suis ainsi, bien plus pro-vax qu’anti-vax, et assez soucieux du consensus scientifique. Je parle de ces drôles de bonshommes à travers le monde qui savent faire voler les avions, décoller les fusées et faire fonctionner Internet.
Contre toute attente, première injection sur l’île, ouf, puis seconde dans la capitale, re-ouf.
L’île du Levant, fidèle à l’année dernière, possède toujours plusieurs visages : de petites communautés assez différentes (presque « opposées » en un sens) se croisent et cohabitent. Couples lambdas, familles, couples gays, libertins…
Les modèles furent un peu moins nombreux que prévu, assez logique vu la situation, mais ont été enchantés de leurs expériences. Le photographe Hugo a pu m’aider pour les photos, comme il l’avait déjà fait en 2017 au domaine de la Genèse (Gard).
La nature est toujours aussi belle dans ce quartier détaché de Hyères. Elle s’est parfois montrée déchaînée avec avis de tempête, les vagues tapant sur les rochers rappelant presque Saint Malo.
Ici, l’esprit festif se mélange curieusement à un esprit plus zen et calme.
A suivre le 5 septembre pour « News de rentrée ! Partie 2 : peintures & iPhone »
On te sent enjoué derrière le clavier 😀