A l’Héliotel l’équipe affronte courageusement la double-situation covid + tempête, avec avis de sécheresse qui plus est. Merci et bravo à Frédéric, Julie, Edouard et les autres. Coucou au fiston Marcellin, toujours aussi dynamique, le seul maternel que je connaisse capable de vouloir sortir ses jouets à une heure du mat’ ! Cette année il parle beaucoup, c’est surtout moi qui ne comprends pas toujours ce qu’il dit (« Tata yoyo » = « Je vais voir des dessins animés ». Ah oui quand même ! A moins qu’il voulait dire autre chose). Puis départ en bateau. Arrivée à Hyères, TER pour Toulon, balade, nuit en AirBNB. L’impression que tout tangue, un symptôme Covid qui sait, eh mince (TOUT peut être symptôme covid, me dit la gentille infirmière. C’est ça le souci). Re-test, fausse alerte tout va bien, c’est ça la science, le « négatif » est « positif » et vice versa, comprenne qui pourra. Puis, train pour Sempron-Libos. Là, nouveau séjour Symbiose, au domaine Laborde en nouvelle Aquitaine. Mini-stand réinstallé, feutres ressortis, cette fois-ci tout juste le nombre contrairement aux autres étés où j’en amenais une tonne. Atmosphère radicalement différente qu’au Levant : quasiment que des familles. J’ai eu le plaisir d’y retrouver François Teulié, l’un des premiers à avoir accueilli le projet Symbiose, en 2016 toujours à la Genèse, désormais gérant de Laborde. François et sa compagne sont parvenus à créer une réelle ambiance naturiste, assez épatante je dois dire, où j’ai trouvé que le nu était vécu sainement par tout un chacun, même les ados et préados évoluent sans complexe. Fait, il me semble, assez rare de nos jours ! Sur mes temps creux j’ai pu rattraper un peu mon immmmense retard dans mes boulots d’écriture, et de-ci de-là donner quelques coups de main en cuisine ou au bar, ainsi qu’au club enfants où j’ai conceptualisé de joyeuses Olympiades avec l’animateur Brandon. Concernant les shootings, n’ayant pas de photographe sur les lieux je m’y suis collé. D’une part j’ai enragé d’avoir aussi peu de matériel… que dis-je, aucun matériel (c’est de ma faute), d’où nécessité de shooter avec les appareils (iPhone en général) des vacanciers. Oui, mon propre mobile était trop moyen, quand je manque de matos je ne fais pas les choses à moitié. De fait : qualité photographique correcte mais sans plus, clichés pas faciles à récupérer ensuite, parfois impossibles… Ce qui est compréhensible, même sur ce point je n’avais pas été bien clair. Les soucis de l’improvisation ! L’essentiel est que chacun ait apprécié le moment. A suivre le 10 septembre « News de rentrée ! Partie 3 : naturisme & cubisme »…